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Le chiffre d’affaires semestriel est en progression de 17,2%.
L’essor du télétravail pèse sur l’activité du groupe. Ses marges dans ses ventes de détail souffrent de la concurrence des marques de distributeurs.
Les derniers résultats publiés en février dernier par le spécialiste des fruits et légumes frais, surgelés et préparés Greenyard n’ont pas fait illusion.
Vous trouverez ci-après les sociétés dont nous suivons les actions et qui ont versé un dividende entre le 2 et le 31 mars.
Il n’allie plus comme autrefois croissance des ventes, rentabilité garantie et hausse des prix de vente.
En cause essentiellement, les incertitudes relatives au budget militaire des Etats-Unis.
Le groupe jouit d’un profil solide et profite des prix élevés du pétrole pour soutenir sa stratégie.
Avec le niveau élevé des taux d’intérêt, la banque a essuyé une perte gigantesque.
Quelques nouvelles à propos de ces actions.
Le titre continue sur sa lancée. Depuis que nous le conseillons, le cours affiche une hausse de 13% !
Objectif : l’aider à construire des fonderies de semi-conducteurs sur le sol américain.
Le groupe cède Dreambaby et réduit ses intérêts dans le secteur de l’énergie.
Les principaux responsables : la chute des prix des engrais et le ralentissement de l'économie.
Mais le petit groupe, spécialiste de la gestion de l’eau, ne fait toujours pas de bénéfices.
Le climat sectoriel difficile pèsera encore sur le résultat 2024, mais les perspectives à long terme sont bonnes.
La croissance du bénéfice a commencé à ralentir au second semestre 2023 et cela va continuer.
La reprise de son activité prend un peu plus de temps que prévu. Le marché s’attendait à mieux.
Il a gagné quasi 60%.
Nos craintes se confirment. L’ex Schnitzer Steel prévoit une perte trimestrielle. Son cours a chuté de 38% depuis le début de l’année.
Le redressement du groupe pharmaceutique israélien devient plus crédible mais sera lent.