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Malgré cela, la société confirme ses objectifs.
L’acheteur est le groupe américain de private equity Calyton, Dublier & Rice (CD&R). Que va-t-il se passer ensuite ?
Et les perspectives sont bonnes.
Le résultat trimestriel le confirme.
Le cours ne se relève cependant pas.
Le complexe de Budapest a du succès.
La plupart des entreprises ayant publié leurs comptes trimestriels, l’heure est venue de dresser le bilan du trimestre écoulé.
L’assemblée générale s’est tenue le 9 novembre.
Son activité de vente en ligne se porte bien.
Les coûts sont sous contrôle.
Il s’agirait cependant d’un placement privé.
Cependant, l’action reste fondamentalement chère.
L’action a en effet regagné quelque 36% depuis son plus bas en février.
Les récentes acquisitions ne porteront pleinement leurs fruits qu’à partir de 2018.
Le groupe maintient néanmoins ses objectifs pour 2017.
Mais divers contretemps l’ont contrainte à revoir ses objectifs 2017 à la baisse.
C’est ce que dit Brian Krzanich, directeur d’Intel. Certaines entreprises sont-elles susceptibles d’en profiter ?
L'horizon s'éclaircit. Mais le secteur est toujours soumis à une forte concurrence et caractérisé par de lourdes surcapacités.
La récente communication du groupe sur ses perspectives stratégiques et financières n’a pas rassuré.
Contre toute attente, l’autorité anti-trust américaine pose des conditions.