Ces derniers mois, la Turquie a régulièrement fait les gros titres, et rarement pour de bonnes raisons. Résultat : la Bourse d’Ankara encaisse de lourdes pertes, avec un recul de près de 20% de début 2025 à fin juin (pour l’investisseur en euro).
En mars, Ekrem İmamoğlu, le maire d’Istanbul et figure de proue de l’opposition (CHP), a été arrêté. Ce n’est sans doute pas un hasard : İmamoğlu est considéré comme le principal rival du président Erdogan en vue des...