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Une hausse (légère) face au mois précédent, due à l’augmentation des prix de l’énergie, et surtout plus rapide que celle souhaitée par la BCE.
Depuis début 2018, la Bourse de Zurich a perdu 7%. Pourquoi ? Et faut-il penser à y prendre position ?
Le mouvement de vente sur les technologiques américaines en milieu de semaine s’est propagé à l’ensemble des Bourses, mais sans panique.
Il ne reste que quelques semaines pour régler à l’amiable le divorce entre Europe et Royaume-Uni.
Un nouvel accord est en route. Une victoire pour Trump et un soulagement pour les entreprises actives dans les trois pays.
Les derniers jours ont été principalement marqués par la hausse des taux.
Le discours de la Fed a toutes les chances de rester de mise.
De quoi raviver les craintes des marchés !
Un moyen de tenter de rassurer les marchés.
En 2016, la dette mondiale atteignait 164 000 milliards de dollars, soit 225% du PIB mondial.
Pour l’investisseur en euro, septembre se solde par un rendement de 0,3%.
Les Bourses ont notamment été affectées par le retour du risque italien.
La roupie a récemment touché ses planchers face au dollar et à l’euro. Les autorités réagissent pour éviter toute tension qui menacerait le dynamisme économique du pays.
Elle l’a ainsi fixé dans une fourchette comprise entre 2 et 2,25%.
Après s’être nettement améliorée en août, elle a encore augmenté en septembre.
Avec quelles conséquences pour l’investisseur ?
Les investisseurs ont repris le goût du risque.
Les ventes au détail, qui avaient grimpé de 0,9% en juillet, se sont encore appréciées de 0,3% en août.
Le taux directeur, à un minimum historique de 0,50% depuis mars 2016, a été relevé à 0,75%.
Car si le Japon reste un grand exportateur, ses importations ont explosé.