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En devises locales, le bilan est moins flatteur : -0,5% !
Grosse poussée de stress sur les Bourses européennes après la remontée du risque en Italie.
La hausse du prix du pétrole a réussi en quelques mois ce que des années de politique monétaire expansionniste ont peiné à réaliser.
C’est un peu moins bien que les 2,3% annoncés d’abord et c’est loin des 2,9% du 4e trimestre 2017.
Le but dans l’urgence : stabiliser sa devise !
Un peu plus de deux ans après l’arrivée au pouvoir du rénovateur Mauricio Macri, le pays a perdu la confiance des investisseurs.
En un mois la devise turque s’est dépréciée de 10%. Une opportunité d’achat ?
En retombant à moins de 1,17 USD, l’euro a atteint face au dollar son plus bas niveau depuis novembre 2017.
Les Bourses hésitent, l’automobile recule…
Elle a été de 2,4% par rapport à un an plus tôt, contre 2,5% en mars et 3,1% lors du pic de novembre 2017.
En cause, le fait que Donald Trump a dénoncé unilatéralement l’accord international sur le nucléaire iranien.
Le Stoxx Europe 50 a rebondi de 9,4% par rapport à son plancher du 26 mars.
Malgré l’intervention de la Banque du Japon, l’économie nippone est tombée en contraction.
Et ce malgré sa baisse non négligeable des douze derniers mois.
Au 1er trimestre, la croissance a été de 0,4% par rapport au 4e trimestre 2017.
Après avoir entamé 2018 dans la continuité de 2017 (c.à.d. en baisse face aux principales devises et notamment l’euro), le dollar s’est ragaillardi.
Le surplus commercial face aux USA a augmenté.
Faut-il en profiter pour investir dans le pays ? En actions ? En obligations ?
Les européennes ont été soutenues par la hausse du dollar.
Le taux directeur, qui avait été relevé de 0,25% suite à la réunion de mars, reste compris entre 1,5 et 1,75%.