Une bonne nouvelle pour tous les consommateurs. Mais aussi pour les marchés d’actions !
Depuis le début de cette année déjà, la production d’hydrocarbures dépasse la demande (certains en profitent pour constituer des stocks à bon prix : la Chine avec le pétrole, les USA, avec le gaz). Aux alentours de…
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La production mondiale de pétrole, déjà trop importante en 2025, atteindra de nouveaux sommets en 2026. Mais la demande d’or noir évoluera peu.
De quoi peser sur le prix du baril.
Le prix de l’énergie pèsera moins lourd sur le portefeuille des ménages, leur laissant une marge de manœuvre élargie pour consommer. De quoi stimuler l’activité économique, ce qui ne manquera pas de profiter aux entreprises et donc aux marchés d’actions.
Depuis le début de cette année déjà, la production d’hydrocarbures dépasse la demande (certains en profitent pour constituer des stocks à bon prix : la Chine avec le pétrole, les USA, avec le gaz).
Aux alentours de 62 USD le baril, le prix du Brent est maintenant au plus bas depuis le printemps.
Les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie y sont pour beaucoup. Elles prévoient qu’en 2026, la production pétrolière s’orientera à la hausse un peu partout.
Mais dans le même temps, la demande pour l’or noir évoluera peu, freinée par le manque de dynamisme des économies, ainsi que par l’électrification croissante.
Les prix de l’énergie resteront donc sous pression, avec un impact sur le prix de l’électricité, des transports et bien d’autres secteurs encore. Une inflation moins élevée donc, qui permettra notamment à la Banque centrale européenne de faire baisser le prix du crédit, et d’ainsi relancer la consommation et l’investissement.
