Nous n’y croyons pas.
Et après avoir atteint un sommet, la Bourse de Londres n’est plus vraiment attractive.
N’achetez pas d’actions britanniques.
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Au Royaume-Uni, le PIB n’a augmenté que de 0,1% du deuxième au troisième trimestre.
En cause en partie, l’attaque informatique qui a paralysé la production de Jaguar Land Rover pendant 5 semaines et a réduit la production automobile de 27% en septembre.
Mais même hors production manufacturière, l’activité économique a particulièrement souffert de la faiblesse de la consommation des ménages et du secteur de la construction.
En outre, la prochaine présentation du budget public s’annonce cruciale.
Avec une dette publique à quasiment 100% du PIB et un déficit proche de 5% du PIB depuis plusieurs années, les finances publiques inquiètent. Cela se traduit par des tensions sur le marché obligataire britannique. Le taux à 10 ans est à 4,4%, soit nettement plus élevé que dans les autres grands pays européens fortement endettés (en Italie et en France il est proche de 3,4%).
Pour rassurer les marchés, des hausses d’impôts sont inévitables. Mais cela risque de freiner plus encore la consommation et l’activité économique. Et avec une inflation de 3,8% en septembre, la Banque d’Angleterre ne pourra guère réduire son taux directeur.
Il est donc illusoire d’espérer un rebond de l’économie.
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