Les taux d’intérêt qui restent élevés et les craintes des consommateurs pour leur pouvoir d’achat affectent les ventes de voitures.
La sanction est sans appel avec un recul de 18,8 % pour le secteur des équipementiers depuis janvier.
Sans plus de visibilité, nous ne jugeons pas prudent de nous montrer plus optimistes.
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Les ventes de voitures électriques marquent aussi le pas. Or, qui dit moins de voitures produites dit aussi moins d’équipements vendus et des usines qui tournent moins chez les équipementiers, ce qui pèse sur la rentabilité. La tendance ne devrait du reste pas s’inverser dans les prochains mois, les constructeurs repoussant le lancement de nouveaux modèles. Des constructeurs qui, face aux difficultés du secteur automobile, cherchent à défendre leurs marges en exerçant une forte pression sur les équipementiers pour qu’ils baissent leurs prix.
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