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L'amélioration des conditions économiques dépend toujours du reflux de l'épidémie.
C’est ce que révèlent les dernières enquêtes.
Y investir aujourd’hui est encore plus risqué qu’hier, et pour un rendement potentiel moins élevé.
Les prochains mois s’annoncent difficiles pour les rapports entre l’Europe et les USA.
La Réserve fédérale a annoncé le rachat d’obligations individuelles d’entreprises américaines sur le marché secondaire et son intention de se constituer un large portefeuille d’obligations d’entreprises.
La hausse de nouveaux cas de Covid-19 à Pékin et dans certains Etats américains ne sape pas totalement la confiance.
Alors qu’au niveau mondial, la pandémie fait toujours rage et que 2020 s’annonce catastrophique pour l’économie, les Bourses sont à des niveaux inimaginables voici trois mois. Ne vont-elles pas trop vite ?
Les investisseurs se sont détournés des actifs à risques après plusieurs informations confirmant que la reprise économique ne serait pas en V.
Lors de la session annuelle du Parlement chinois, les dirigeants se sont félicités de la gestion de l’épidémie. Mais au-delà de ce satisfecit, les perspectives économiques se sont assombries.
Contre toute attente, l’économie américaine a créé 2,5 millions d’emplois en mai.
L’Europe se détache des marchés américains.
Une manière de maintenir des taux bas et de soutenir la relance économique.
La dernière récession en Australie remonte à 1991. Depuis lors, le pays s’est fortement enrichi et dispose des moyens pour rebondir. Les dégâts s’avèrent cependant importants cette fois.
A l’échelle mondiale, en moyenne, pour l’investisseur en euro, le rendement a été de 3,3%.
Aux USA, au 1er trimestre l’activité économique a chuté de 5%, contre -4,8% annoncé auparavant.
Le déconfinement rend des espoirs, renforcés de surcroît par le projet de plan d’aide de la Commission européenne.
L’avancée des déconfinements restitue l’optimisme.
Face à l’épidémie, la Suède a mis en place une stratégie différente des autres pays : pas de confinement imposé, mais des recommandations.
L’accord porte sur un montant de 500 milliards d’euros.
Les actifs financiers suisses sont rarement bon marché. Mais la crise actuelle démontre leur capacité à conserver leur valeur, même quand d’autres sont à la peine.