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Les derniers indicateurs pour la progression des prix à la consommation dans la zone euro et aux Etats-Unis sont formels : la période de déflation qui a affecté les deux plus grandes économies de la planète est terminée.
La faute à la Grèce mais aussi et surtout à la Fed !
Ralentissement de la croissance économique, incertitude politique... Sur un mois, la Bourse d’Istanbul a perdu 7 %. Une occasion d’acheter ?
En mai, l’économie américaine a créé 280 000 postes de travail.
Après avoir atteint le 13 avril son niveau le plus haut par rapport à l’euro depuis janvier 2003, le dollar semble marquer le pas.
Pour la 4ème fois de l’année, la banque centrale brésilienne a revu son taux directeur à la hausse.
Le discours de la BCE a secoué les marchés.
Le discours de la BCE a insufflé un mouvement immédiat aux taux européens.
… mais pas au bord du gouffre.
Avec une économie plombée par le faible prix du baril, le Mexique mise sur la vitalité du consommateur américain pour soutenir sa croissance.
En mai, l’inflation a été de 0,3 %.
Le sentiment économique qui mesure le moral des ménages, commerçants et chefs d’entreprise dans la zone euro est resté stable entre avril et mai.
L’inflation japonaise a chuté à 0,6 % en mai contre 2,3 % en avril, mais sans relancer les ventes.
Le fossé entre la Grèce et ses créanciers semble un jour se réduire, un jour se creuser, et empêche les investisseurs de revenir sur les marchés européens.
Après un premier trimestre décevant, les derniers chiffres n’annoncent pas de forte reprise au deuxième trimestre.
Mais la Banque d’Angleterre rassure.
Au premier trimestre, l’activité économique au Mexique a augmenté de 0,4 % sur base trimestrielle.
Vendredi midi, par rapport à une semaine plus tôt, le Stoxx Europe 50 était en hausse de 2,8 %, le S&P 500 de 0,4% et le Bel 20 de 2,5 %.
D’avril à mai, l’indice zew qui mesure le sentiment des analystes concernant l’économie allemande, a reculé.
Entre mars et avril, les ventes au détail ont stagné aux Etats-Unis.