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Le sentiment économique qui mesure le moral des ménages, commerçants et chefs d’entreprise dans la zone euro est resté stable entre avril et mai.
L’inflation japonaise a chuté à 0,6 % en mai contre 2,3 % en avril, mais sans relancer les ventes.
Le fossé entre la Grèce et ses créanciers semble un jour se réduire, un jour se creuser, et empêche les investisseurs de revenir sur les marchés européens.
Après un premier trimestre décevant, les derniers chiffres n’annoncent pas de forte reprise au deuxième trimestre.
Mais la Banque d’Angleterre rassure.
Au premier trimestre, l’activité économique au Mexique a augmenté de 0,4 % sur base trimestrielle.
Vendredi midi, par rapport à une semaine plus tôt, le Stoxx Europe 50 était en hausse de 2,8 %, le S&P 500 de 0,4% et le Bel 20 de 2,5 %.
D’avril à mai, l’indice zew qui mesure le sentiment des analystes concernant l’économie allemande, a reculé.
Entre mars et avril, les ventes au détail ont stagné aux Etats-Unis.
La reprise économique s’amplifie dans la zone euro.
Avril a été meilleur que mars.
Après avoir atteint des minima historiques en mars et avril, les taux auxquels se financent les pays de la zone euro sont en hausse depuis début mai.
Face au ralentissement du secteur minier et des investissements, les autorités baissent leur taux directeur pour la deuxième fois de l’année, jusqu’à 2 %, son minimum historique.
Après quatre mois en territoire négatif, l’inflation dans la zone euro a été nulle en avril.
Le coup de pouce donné à la zone euro par le recul de la monnaie unique et des prix de l’énergie ainsi que par l’intervention musclée de la BCE serait-il déjà en train de s’essouffler ?
Les premiers résultats trimestriels des sociétés, positifs, du côté européen surtout, combinés aux mesures prises par la Chine pour soutenir sa croissance, ont été salués par les Bourses.
Les semaines se suivent et se ressemblent autour du dossier grec.
Le rig count est un excellent indicateur pour se tenir informé de l’offre américaine ou le nombre total de plates-formes de forage dans le pays.
Si Athènes reste confiante quant à sa capacité à aboutir à un accord, le FMI (Fonds monétaire international), lui, ne s’est guère montré rassurant.
Dans la zone euro, la progression annuelle des prix est restée légèrement négative en mars, à -0,1 %.