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En ce week-end de Pâques confiné, comme à l'accoutumée, nous faisons le point sur l'évolution qu'ont connu les marchés au cours de la semaine écoulée, toujours marquée par la pandémie.
Or, le prix du cuivre est souvent vu comme un baromètre économique. Que faut-il en penser ?
Alors que de nombreux actifs ont connu des chutes vertigineuses en mars, ce type d’actif a fait mieux que résister.
D’abord relativement épargné, le pays est rattrapé par la pandémie.
En mars, l’impact du Covid-19 sur les marchés financiers a été brutal. En moyenne, les Bourses mondiales ont cédé 14,3% (pour l’investisseur en euro). Et la volatilité bat tous les records.
En deux semaines, 10 millions d’Américains sont devenus demandeur d’emploi !
La gravité de la crise ne fait plus aucun doute. Mais les investisseurs s’interrogent aussi sur sa durée et sur l’ampleur de la reprise.
C’est ce que peut sembler révéler l’indice qui la mesure. Mais ce chiffre peut être trompeur.
Néanmoins, vu le déferlement de stimuli, le choc devrait être limité dans le temps.
Sans crier victoire, les investisseurs tentent de retrouver le droit chemin après le dérapage.
Un compromis a été trouvé pour un montant de 2000 milliards de dollars, le plus gros plan jamais élaboré.
En ce mois de mars, l’indice d’activité est déjà tombé à un minimum historique. Et cela risque d’être pire en avril.
Ces trois concepts économiques reviennent régulièrement sous les feux de l’actualité. Comment bien les distinguer ?
Inimaginable il y a quelques années, cette décision a été prise à l’unanimité. Elle est cependant surtout symbolique.
Il y a deux mois, l’économie mondiale reprenait des couleurs et un atterrissage en douceur était à portée de main. A présent, le Covid-19 est une pandémie et nous mène à la récession.
Les actions et la plupart des actifs sont pénalisés par la propagation du coronavirus et son impact sur l’économie mondiale.
Lorsque le coronavirus a commencé à malmener les Bourses, l’or, le franc suisse, le dollar et le yen ont progressé, jouant pleinement leur rôle de valeur refuge.
Le but : faire face aux conséquences financières et économiques de l’épidémie.
La chute était attendue, mais son ampleur, la plus forte jamais enregistrée en un seul mois, a surpris.
Il n’est pas facile d’y faire face. Nous vous expliquons pourquoi et poursuivons avec nos analyses et nos recommandations.