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Grâce à une seconde moitié de semaine en hausse, les Bourses ont terminé la semaine dans le vert.
Le yuan a-t-il été affecté par les déboires d’Evergrande ou d’autres grandes entreprises chinoises ?
Les mesures de soutien des autorités ont-elles été efficaces ?
L’inquiétude relative à l’inflation et aux politiques monétaires pousse les investisseurs à se montrer défensifs et à prendre leurs bénéfices.
C’est important pour le rendement des investisseurs qui diversifient largement leur portefeuille dans diverses devises.
Après la séance difficile et déprimante de lundi, les investisseurs ont retrouvé le goût du risque.
Certains comparent les déboires du géant immobilier chinois Evergrande à Lehmann et craignent une chute du système financier chinois qui affecterait le reste du monde. Ce n’est pas notre avis.
En août, Pékin a fortement secoué les marchés boursiers. Que s’est-il passé exactement ? Et que faire à présent ?
Les Bourses occidentales restent attentives à l’évolution de la situation en Chine, 2e économie mondiale.
C’est purement théorique, bien sûr. Mais cela démontre combien ce placement peut être fluctuant.
La reprise des grandes économies de part et d’autre de l’Atlantique et en Chine montre des signes d’essoufflement.
Découvrez le bilan de la situation sur les marchés au mois d’août.
Les statistiques économiques confirment le ralentissement de la Chine. Les économies américaines et européennes restent quant à elles solides.
Les indices américains ont néanmoins retrouvé de nouveaux sommets, alors que l’Europe restait globalement stable.
Au 2ème trimestre, l’économie de la zone euro a progressé de 2% sur base trimestrielle et de 13,6% sur base annuelle.
Les indices sont redescendus sous les records atteints la semaine précédente.
Le fait que la normalisation de la politique monétaire pourrait être plus précoce que prévu fait paniquer les investisseurs.
Après des mois d’euphorie, l’économie américaine semble se normaliser, ce qui sème le doute chez les investisseurs.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a revu à la baisse ses prévisions de demande d'hydrocarbures pour 2021 et 2022.
Le S&P 500 et le Dow Jones ont atteint leur sommet historique.