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Les Bourses ont donc terminé la semaine dans le vert, soutenues par le recul des tensions entourant la guerre commerciale sino-américaine.
L’économie américaine continue à tirer son épingle du jeu.
C’est la première fois de son histoire. L’incertitude est lourde dans le pays. C’est néfaste pour les investisseurs.
C’est notamment le cas pour certaines cartes de crédit.
Pourquoi cette perception négative, alors que le coût de la vie devient ainsi pourtant moins cher ?
Il faut désormais plus de 7,15 yuan pour acheter un dollar. Or, l’évolution du yuan peut avoir des répercussions planétaires.
Déjà en contraction au 2e trimestre, elle risque la récession.
… les autorités monétaires et politiques cherchent des pistes pour la remettre sur le droit chemin.
Le S&P 500 a gagné 1,2% sur la semaine, le Stoxx Europe 50 s’est apprécié de 1,6% et le Bel 20 de 1%.
Alors qu’elle a l’habitude de formuler clairement ses décisions (consciente que les investisseurs apprécient peu les surprises), elle fait preuve pour l’instant d’une incertitude inhabituelle.
L’émission de deux milliards d’euros est assortie d’un intérêt de -0,11%.
Faut-il se ruer vers la sortie ?
Malgré le report des droits de douane à décembre, l’incertitude quant à l’avenir des relations entre les deux pays pèse sur la production et les choix d’investissement.
Au 2e trimestre, elle s’est repliée de 0,1% face au trimestre précédent. Sur un an, elle ne progresse plus que de 0,4%.
Une bonne nouvelle pour le pouvoir d’achat du consommateur américain. Et pour l’investisseur ?
Lundi, les indices boursiers américains ont subi leur plus forte baisse de l’année.
Après un 1er trimestre tiré par la constitution de stocks en prévision du Brexit (alors prévu le 29/3), l’économie britannique est entrée en contraction.
C’est son plus haut niveau depuis février 2018.
Les effets de change, utilisables pour améliorer la compétitivité ou atténuer l’impact des droits de douane, reviennent sur le devant de la scène, avec la recrudescence des barrières commerciales.
Les autorités de Pékin répondent à la récente instauration de droits de douane américains supplémentaires sur les produits chinois.