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Et ces devises fluctuent par rapport à l’euro. A la hausse comme à la baisse. Cela a des conséquences sur la volatilité et le rendement.
L’été dernier, la crainte d’une récession était dans tous les esprits. Quelques mois plus tard, les marchés d’actions sont euphoriques. Le MSCI World est au plus haut.
Sur la semaine, le S&P 500 a gagné 1,2%, le Stoxx Europe 50 a grimpé de 0,9% et le Bel 20 s’est apprécié de 1,2%.
L’incertitude précédant les élections a freiné les achats.
Un durcissement justifié par une inflation proche de l’objectif de 2%, un ralentissement économique jugé normal (après une période très dynamique) et une croissance prévue conforme au potentiel du pays ces prochaines années.
Les patrons allemands retrouvent un peu le moral. L’indice ifo, qui mesure leur sentiment, a encore augmenté en décembre.
Un rebond après deux mois de recul. Et c’est la hausse la plus marquée depuis octobre 2017.
Au 3e trimestre, l’économie japonaise a crû de 1,7%. Pourtant, le gouvernement a annoncé un plan budgétaire de relance. Quelle attitude adopter en tant qu’investisseur ?
Alors que les rapports entre Chine et USA s’étaient récemment dégradés suite aux événements à Hong Kong, les deux pays ont annoncé avoir ficelé un texte devant mener à la première phase d’un accord commercial.
Accord en vue entre Chine et USA, visibilité sur le Brexit, déclarations de la BCE et de la Fed : les investisseurs ont eu plusieurs raisons d’être rassérénés.
Ils disposent désormais d’une large majorité au Parlement. Le Royaume-Uni quittera donc bien l’Union européenne le 31 janvier 2020.
Avec le principal taux directeur à 0% et les rachats d’obligations pour 20 milliards par mois, la marge de manœuvre de la BCE n’est pas immense.
Après trois baisses entre juillet et octobre, la phase baissière touche à sa fin.
Que penser de ce retour en force du protectionnisme ?
Trump entretient le flou sur la signature d’un accord commercial avec la Chine. Une incertitude qui a inquièté les marchés, trop confiants ces derniers mois. Mais la semaine a finalement été sauvée par la publication des chiffres de créations d'emplois aux USA.
Par rapport au trimestre précédent, elle est de 0,2%.
Ce n’est plus tant le Brexit, mais bien l’avenir du pays au-delà qui est au cœur de la campagne pour les élections du 12 décembre. Les partis promettent la fin de l’austérité et multiplient les promesses. Faut-il toujours investir en actions britanniques ?
Après un rebond au 2e trimestre, elle a reculé de 0,6%.
C’est le 4e mois consécutif de contraction. L’indice ISM a même légèrement reculé par rapport à octobre (à 48,1), ce qui révèle des difficultés accrues pour l’industrie américaine.
Le rendement récolté depuis le début de l’année est de 24,8%.