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La croissance a été de 0,4% face au trimestre précédent (contre 0,2% seulement au 4ème trimestre 2018) et de 1,2% sur un an.
Qu’est-ce qui pousse les actions américaines de la sorte ?
A 72 USD le baril, le pétrole est au plus haut depuis novembre.
Mais la durabilité de ces bons chiffres est loin d’être assurée.
L’inflation ne dépassant guère 1,8% au 4e trimestre 2018, elle juge qu’une dégradation du marché de l’emploi pourrait justifier une politique de taux plus laxiste.
Faut-il investir dans ces pays ?
En l’absence de nouvelles majeures émanant des entreprises, les investisseurs demeurent attentifs à l’environnement économique.
Avec le report du Brexit jusqu’au 31 octobre, les agents économiques britanniques continuent de naviguer à vue.
Ils avaient déjà progressé de 0,2% en février.
Le taux directeur reste à 0% et les taux d’intérêt resteront au plancher au moins jusque fin 2019.
En obligations ? En dollar canadien ou américain ?
Très attendue par les épargnants et redoutée par les marchés, la hausse généralisée des taux d’intérêt n’aura finalement pas lieu de sitôt.
Les Bourses ont grimpé grâce à l’économie. Les indices ont été poussés par les valeurs cycliques.
Le PIB a crû de 2,7% par rapport au même trimestre de l’année précédente.
Faut-il dès lors craindre une récession ?
En février, il avait chuté et fait craindre un début de crise. Mais ces craintes viennent d’être écartées.
Poursuite du rebond malgré les hésitations.
Négociations entre Chine et USA, inquiétudes pour l’économie mondiale, impasse du Brexit… : les incertitudes sont nombreuses.
La confiance est partout en retrait.
La perte d’influence de l’Europe au niveau technologique se reflète actuellement sur le secteur télécom.