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En mai les ventes au détail américaines ont dépassé les attentes (+0,5 %).
Les deux devises sont surévaluées par rapport à l’euro.
La Banque centrale de Russie a baissé son principal taux directeur de 11 % à 10,5 %.
Qu'en est-il de la dette mondiale ? Représente-t-elle une menace pour l'économie ? Et qu'en est-il de la dette des entreprises ?
Après des années de récession, l’Espagne a renoué avec la croissance en 2013, au point de devenir la plus dynamique des grandes économies en Europe en 2015. Une croissance bienvenue, mais qui ne règle pas tout.
S’il est déjà loin, le 1er trimestre s’embellit à mesure que les investisseurs le regardent dans le rétroviseur.
En mai, l’investisseur en euro a encore engrangé 2,6 % sur les Bourses mondiales. Et les pertes subies depuis le début de l’année se limitent désormais à 0,5 %.
Les investisseurs ont gardé un œil sur les données économiques.
Le Brésil est en récession depuis deux ans et tout indique que cette crise, la pire depuis les années 30, se poursuivra ces prochains trimestres.
En avril, les dépenses de consommation des Américains ont grimpé de 1 % par rapport au mois précédent. C’est la plus forte hausse depuis août 2009.
Selon une première estimation, l’inflation est restée négative en mai dans la zone euro. Sur le marché du travail, la situation ne s’améliore guère.
Bonne ou mauvaise nouvelle ?
En avril, les ventes au détail ont encore baissé (de 0,8 %). Et la production industrielle ne progresse guère.
Annoncée à 0,4 % à peine dans un premier temps, la croissance américaine au 1er trimestre a été revue à la hausse, à 0,8 %.
Au Royaume-Uni, la croissance du 1er trimestre a été confirmée à 0,4 % sur base trimestrielle et à 2 % sur base annuelle.
Belle hausse des actions en Europe.
Cette barrière psychologique n’avait plus été franchie depuis octobre 2015.
Le premier trimestre s’est clôturé sur une croissance de 0,7 % par rapport au trimestre précédent et de 1,3 % sur un an.
Faut-il encore investir dans ce pays ?
Sur base annuelle, les prix à la consommation ont reculé dans 12 des 19 pays de la zone euro, avec de grandes disparités d’un pays à l’autre.