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Le taux principal passe de 0,25 à 0,50%.
Janet Yellen cèdera sa place à Jerome Powell (si le choix de ce dernier est confirmé par le Sénat).
Elle est loin de faire l’unanimité, s’annonce positive pour le dollar et les Bourses américaines, et négative pour les obligations.
C’est largement supérieur au potentiel et c’est le meilleur chiffre depuis 2011 et l’avènement de la crise de la dette souveraine.
Le resserrement des politiques monétaires a eu peu d’impact face aux chiffres macroéconomiques et aux bons résultats des sociétés.
Le ralentissement redouté a été évité.
La fin de la semaine a été dynamisée par l’annonce faite par la BCE à l’issue de son comité monétaire de jeudi.
Son programme de rachats d’actifs va évoluer.
En octobre, l’indice ifo, qui mesure le sentiment économique des chefs d’entreprise allemands, a atteint un sommet.
C’est une bonne surprise, mais à relativiser.
Mais derrière cette apparente stabilité se cache une évolution de la structure économique du pays.
Alors que les marchés sont entrés dans le vif des résultats trimestriels des entreprises, c’est la stabilité qui a dominé cette semaine au niveau des Bourses.
Au 3e trimestre, elle a été de 1,7% par rapport au trimestre précédent et de 6,8% par rapport à un an plus tôt.
Qu’est-ce qui explique ce dérapage ?
Les marchées ont temporisé. La prudence l’a emporté.
Si la tendance haussière des taux directeurs américains ne fait aucun doute, la Fed reste attentive à l’évolution des indicateurs économiques.
Sur un an, le recul est de 20%. Surtout en cause : la détérioration des rapports entre Ankara et Washington.
Quelles pourraient être les conséquences économiques de la crise hispano-catalane ?
Les Bourses européennes ont bien résisté aux tensions espagnoles. Les américaines ont battu de nouveaux records.
Après une déflation quasi ininterrompue de 2011 à 2016, l’inflation suisse a été de 0,7% en septembre 2017.