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Les raisons : une inflation moins menaçante et une croissance décevante.
Les indicateurs restent néanmoins dans le vert.
Que penser de la remontée de la monnaie unique, due aux politiques monétaires et aux risques politiques ?
Les résultats trimestriels ont été plutôt bien accueillis par les investisseurs et les grandes Bourses terminent la semaine dans le vert.
Elle a grimpé de 0,3% par rapport au 1er trimestre. Par rapport à un an plus tôt, sa croissance ralentit à 1,7% (contre 2% au 1er trimestre).
Il a encore atteint un record, pour le troisième mois consécutif.
Le coup d’Etat du 15 juillet 2016 a fait prendre un nouveau virage à la Turquie.
Alors que le gouvernement chinois vise une croissance économique de 6,5% en 2017, l’activité a affiché une hausse annuelle de 6,9% au deuxième trimestre.
Des nouvelles règles imposées par le pays inquiètent les entreprises minières.
Un choix plein de symbolisme, avec son lot d’avantages.
En juin, après quatre mois de forte hausse, les prix à la consommation sont restés stables par rapport au mois précédent.
N’est-ce pas exagéré ?
Au mois de juin, elle a été de 1,6% contre 1,9% en mai.
Après quelques semaines incertaines en matière de hausse de taux, la Fed a rassuré les marchés. Et le secteur technologique s’est positivement distingué.
Le taux cible de financement à un jour a été porté à 0,75%, contre 0,50% auparavant.
Ils n’augmentent pas, malgré la bonne tenue du marché du travail.
Ces taux sont actuellement négatifs. A quand le retour à la normale ?
Par rapport à un plus tôt, les exportations ont progressé de 14,1% et les importations de 16,2%.
L'accord porte sur le libre échange.
Les chiffres appuient la probabilité d'une normalisation monétaire.