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Les principales Bourses ont clôturé la semaine sans grande variation.
A la Fed, les points de désaccord sont nombreux parmi les membres. A la BCE, le discours est plus prudent.
Dès que des problèmes surgissent dans un pays, c’est l’intérêt national qui prévaut.
L'Europe se redresse enfin mais les investisseurs sont prudents et attentistes.
La semaine passée a été marquée par un changement de ton des banques centrales.
En juin, l’inflation a reculé à 1,3% et le sentiment économique a atteint un plus haut depuis août 2007.
Les propos des dirigeants des banques centrales inquiètent les investisseurs.
C’est la quatrième baisse mensuelle au cours des douze derniers mois.
Elle avait reculé lors des deux mois précédents.
Une opportunité d’achat ?
Avec quelles conséquences pour l’investisseur ?
La baisse du prix du baril n’a pas affecté que le secteur pétrolier.
Après deux ans de récession, le PIB est reparti à la hausse.
En France et au Royaume-Uni, l’avenir s’annonce mouvementé.
Les exportations ont pourtant été dynamiques en mai.
Production industrielle, marché du travail, commerce extérieur : l’embellie se poursuit.
Les principales Bourses européennes terminent la semaine légèrement dans le rouge.
Le taux directeur est maintenu à son minimum historique de 0,25%.
Il est à présent dans une fourchette de 1 à 1,25%.
Voulue par la Première ministre, cette élection anticipée n’a pas débouché sur le résultat escompté.