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Car les chiffres officiels ne reflètent pas la réalité.
Faut-il paniquer ou garder confiance ?
La volonté de la BCE d’assouplir encore sa politique monétaire, pour relancer l’inflation, a permis aux Bourses de limiter les dégâts.
Sans nier les problèmes économiques de la Chine et leur impact important sur l’économie mondiale, une mise en perspective de la Bourse chinoise permet de relativiser les turbulences actuelles.
Deux raisons nous incitent à quitter le pays et à préférer miser sur le Canada.
La banque centrale a estimé que la stabilité relative de la roupie offrait une opportunité pour baisser le loyer de l’argent.
Plusieurs éléments combinés ont alimenté la volatilité.
Le taux en yen à 10 ans est de seulement 0,19 %.
La demande privée, avec une progression de 1,9 %, a été le principal moteur de l’économie.
Le prix du pétrole a encore perdu 20 % sur un mois, pour chuter à son niveau le plus bas depuis le printemps 2004.
En 2015, la croissance économique canadienne a déçu, suite au repli des prix des hydrocarbures et des matières premières en général.
Le marché du travail américain reste dynamique. Dans la zone euro, l’amélioration est lente.
Les investisseurs sont de plus en plus inquiets par l’évolution de l’économie chinoise et par son impact sur l’économie mondiale.
Pour la deuxième fois en quatre jours, sur la Bourse chinoise, les coupe-circuits ont été enclenchés.
Victime de la méforme des prix du pétrole, le rouble dégringole, tant face à l’euro qu’au dollar.
Quelles perspectives cela ouvre-t-il pour 2016 ?
L’indice qui mesure l’évolution des prix immobiliers dans 20 villes des USA affiche pour octobre 2015 une progression de 5,5 % par rapport à un an plus tôt.
Et l’Arabie saoudite n’attend pas de rebond des cours du baril pour 2016.
Le pays restera-t-il ou non dans l’Union Européenne ?
Une fois n’est pas coutume, les marchés ont reçu un coup de pouce des valeurs minières et pétrolières, délaissées ces dernières semaines.