Communiqué
Testachats demande des mesures transitoires face aux changements fiscaux : « Toujours pas de clarté sur la suppression de certains avantages fiscaux rétroactivement depuis le 1er janvier 2025 »
02 juin 2025

La loi-programme fédérale, qui fixe le budget et toutes les règles fiscales associées pour les années à venir, doit encore être approuvée par le Parlement.
Mais dans sa version actuelle, plusieurs avantages fiscaux se voient supprimés ou limités : la réduction d’impôt pour les primes d’une assurance protection juridique serait supprimée, la déduction fiscale pour les intérêts d’un prêt contracté pour une seconde résidence serait également supprimée, la déduction fiscale pour les pensions alimentaires serait limitée, et les dons n’ouvriraient plus droit à une réduction d’impôt de 45 %, mais seulement de 30 %.
Ces changements prendraient effet à partir du 1er janvier 2025. Cela signifie concrètement que toutes les primes payées depuis cette date pour une assurance protection juridique, tous les intérêts sur les prêts pour une seconde résidence, toutes les pensions alimentaires et tous les dons effectués depuis seraient donc soumis au nouveau régime, alors même que celui-ci n’était pas encore connu à ce moment-là.
« Nous sommes à la moitié de l’année 2025 et il n’existe toujours pas de législation fiscale définitive pour des paiements déjà effectués cette année » regrette Julie Frère, porte-parole de Testachats. « Pourtant, certaines décisions ont été prises dans le passé sur la base d’un avantage fiscal promis, comme un prêt pour une seconde résidence ou des accords concernant les pensions alimentaires. Modifier soudainement le régime fiscal crée une insécurité juridique. C’est pourquoi nous demandons au Premier ministre De Wever et au ministre des Finances Jambon de prévoir des mesures transitoires » conclut-elle.
Ces changements prendraient effet à partir du 1er janvier 2025. Cela signifie concrètement que toutes les primes payées depuis cette date pour une assurance protection juridique, tous les intérêts sur les prêts pour une seconde résidence, toutes les pensions alimentaires et tous les dons effectués depuis seraient donc soumis au nouveau régime, alors même que celui-ci n’était pas encore connu à ce moment-là.
« Nous sommes à la moitié de l’année 2025 et il n’existe toujours pas de législation fiscale définitive pour des paiements déjà effectués cette année » regrette Julie Frère, porte-parole de Testachats. « Pourtant, certaines décisions ont été prises dans le passé sur la base d’un avantage fiscal promis, comme un prêt pour une seconde résidence ou des accords concernant les pensions alimentaires. Modifier soudainement le régime fiscal crée une insécurité juridique. C’est pourquoi nous demandons au Premier ministre De Wever et au ministre des Finances Jambon de prévoir des mesures transitoires » conclut-elle.
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