Notre association Test Achats solidaire des Ukrainiens et de tous ceux qui les aident

L’afflux de réfugiés suite à l'invasion brutale de l'Ukraine par la Russie nous touche, tous, en plein cœur. Cette crise humanitaire ne peut laisser personne indifférent. Nous nous joignons donc nous aussi, sans délai, au mouvement de solidarité qui voit le jour en Belgique ces dernières semaines.
Un soutien financier et des informations
Au cours des prochains jours, nous apporterons notre soutien de différentes façons aux personnes originaires d'Ukraine et à ceux qui se battent pour les aider.
Outre les initiatives internes de notre personnel telles que le soutien et le parrainage de familles ukrainiennes récemment arrivées en Belgique, nous allons partager un maximum d'informations pratiques, et répondrons aux questions que les personnes ukrainiennes et leurs familles d'accueil, y compris les membres de notre association Test Achats, se posent au quotidien.
Par ailleurs, à l'instar de ce que nous avions déjà fait lors de la crise liée à la pandémie de coronavirus, nous apportons également un soutien financier à différentes plateformes et organisations actives sur le terrain. Ainsi, nous faisons don de 5 000 € à l'UNICEF suite à son appel de fonds la semaine dernière, ainsi qu'à la plateforme nationale Ukraine 12-12.
Malgré la crise qui nous touche tous
Il est essentiel, à nos yeux, de montrer notre solidarité avec les victimes de la guerre en Ukraine et ce, même si chacun d'entre nous vit aussi, déjà, les conséquences économiques de la crise au quotidien.
« Par ce geste, nous désirons souligner et renforcer cette grande générosité, même si parfois, les limites budgétaires sont serrées », explique Jean-Philippe Ducart, notre responsable Communication & Relations médias. « Même si notre pouvoir d'achat est déjà pas mal mis à l'épreuve, notre organisation veut apporter sa contribution à l'effort de tous pour la paix, le bien-être et l'aide d'urgence. »
Il y a deux ans, nous avions collecté 440 000 € pour soutenir le personnel de santé lors de la première phase - la plus lourde - de la pandémie de coronavirus.