Bonjour, j'ai demandé la rectification du chantier afin de déplacer l'onduleur à la cave le 16 novembre 2022.Le 22 décembre 2022, la rectification est convenue par téléphone mais aucune date n'est planifiée.Le 14 février 2023, après de nombreuses tentatives de prise de contact de ma part, la rectification est convenue par téléphone et confirmée par e-mail. La date du 24 février 2023 est planifiée. L'intervention prévoit de déplacer l'onduleur du grenier à la cave et de prolonger le câblage. Il est précisé que le déplacement ne sera pas comptabilisé car il sera intégré à l'intervention prévue pour l'onduleur.Le 24 février 2023, un électricien se présente et il ne peut pas faire le travail sans une équipe de couvreurs pour prolonger les câbles.Le 23 mars 2023, une équipe de deux ouvriers se présentent mais ils ne peuvent faire le travail faute de temps disponible.Le 24 mars 2023, un e-mail annonce tout à coup que la main d'oeuvre pour la rectification sera facturée. Je prends note du refus de faire le travail dans le cadre accordé le 14 février 2023.Le 6 avril 2023, suite à l'appel pour stopper les relances de facturation automatiques et aux conseils donnés, je mentionne le problème et je propose 2 options : a. si on ne fait pas le travail, je le ferai via une autre entreprise et je demande une déduction de ces frais de la facture et un dédommagement pour la perte de temps sur l'exécution du chantier b. la bonne exécution de la rectification et la fin du chantier comme prévu. Aucun suivi n’est apporté à mes propositions pendant plusieurs mois.Le 29 août 2023, on me revient en pensant que tout est résolu. J'expose à nouveau la situation et je demande de finir le chantier comme prévu le 14 février 2023. Ceci dans un échange de mails du 31 août au 4 octobre. Suite à l'analyse de la situation en interne, une estimation de 600€ pour l'intervention avec une réduction de 50% est proposée.Le 13 octobre 2023, je demande de revoir cette proposition au vu de l'accord du 14 février 2023 et des nombreux contre-temps subis depuis le 22 novembre 2022. Le délai normal d’exécution du chantier est complèrement dépassé.Le 30 octobre 2023, la même proposition revient en expliquant que le tubage doit être revu. Le 10 novembre 2023, je réponds que cette justification ne convient pas. Le 14 février 2023, il était stipulé que le déplacement et le câblage seraient revus. Il va de soi que l'intervention comprenait tous les postes et les conséquences y afférents.Le 17 novembre et le 20 décembre 2023, la même proposition est maintenue encore.Le 20 décembre 2023, je réitère ma position de ne pas accepter des frais supplémentaires pour une intervention prévue le 14 février sans frais et je demande une date pour réaliser enfin le travail.En conclusion, les conditions de vente ne sont pas respectées. Les délais du chantier sont largement dépassés. Des frais supplémentaires injustifiés sont donnés. Le 14 février 2023, un engagement est pris en toute connaissance de cause du dossier sur le chantier. Si une estimation du coût de la rectification avait dû être faite, elle devait se faire avant le 14 février 2023. Ce n'est qu'à postériori, sur les deux rendez-vous de rectification non réalisée du 24 février et du 23 mars que la situation a été évaluée. Il n'est pas de mon fait que la rectification ait été mal estimée mais elle a été accordée sans frais. Je refuse donc de couvrir ces frais.