Comme de nombreux usagers sur le territoire de Mons, nous sommes des victimes collatérales d'un litige opposant Proximus et la ville de Mons. Notre demande de raccordement au VDSL, prévue le 9 mai, mais reportée pour cause d'un litige ne nous concernant pas, n'est pas située à front de voirie, mais dans un clos privé (rue Brisselot, 13/R). Un voisin vient d'être raccordé au VDSL, preuve que le câble de cuivre est présent en domaine privé et ne dépend donc d'aucune autorisation de l'administration communale. Suite à de nombreuses péripéties avec l'entrepreneur, les fournisseurs Voo et Proximus, nous sommes en attente d'une connexion depuis le 18 mars dernier. L'activité économique de ma compagne est entièrement dépendante d'internet et le partage de connexion, plus coûteux et beaucoup moins stable et rapide, lui cause un lourd préjudice. Je suis moi-même en télétravail trois jours / semaine et cette situation m'oblige à enfreindre les règles imposées par mon employeur en me rendant chaque jour sur mon lieu de travail. Ne parlons pas des désagréments d'ordre privé (nous avons des enfants qui se divertissent et étudient en ligne et nous payons des abonnements que nous ne pouvons pas utiliser). Je demande que Proximus maintienne la date de connexion au 9 mai prochain, faute de quoi j'estime que nous sommes en droit de lui réclamer des dommages et intérêts. L'intervention de Proximus reportée au 30 mai n'est pas tenable. Une plainte a déjà été déposée au nom ma conjointe, le 12 avril dernier.