Schmidt nous a vendu un projet d’aménagement réalisé en 10 à 12 semaines, l’assurance du suivi personnalisé de notre projet par un interlocuteur unique et la garantie de bénéficier des prix les plus justes, garantis par le remboursement de la différence.Notre prestataire a été plus loin et a confirmé que toutes les modifications souhaitée pourraient être apportées aux commandes passées avant l’acceptation des plans et en glissant au passage que les conditions offertes par les filiales belges offraient un dédommagement plus important en cas de dépassement des délais donnés que la maison-mère.Le résultat est certes fort sympathique.Mais notre aménagement a été réalisé à grand peine en 37 semaines, a été «suivi» par 5 à 6 interlocuteurs différents (sans compter les poseurs), a nécessité 3 interventions des services après-vente et le remplacement pur et simple de 8 meubles sur les 20 livrés.Pour éviter un débat inutile, nous avons procédé au paiement de l'incontestablement dû, en limitant l’estimation du préjudice à l’application (partielle) de deux engagements pris par le prestataire au nom « l’excellence Schmidt (et à l’origine du choix de ce dernier) : « le respect des délais donnés » et « les prix les plus justes ».Non content de ne pas avoir respecté les délais contractuels d’exécution et de n'avoir tenu aucun compte des remarques qui auraient pu limiter ses retards, le gérant réfute le préjudice et refuse d’assumer ses engagement en se retranchant derrière une interprétation restrictive de ces derniers fondamentalement différente de celle qui figure en bonne place sur le site de la filiale.Sous la menace de voir transférer la créance à un organisme de recouvrement, nous avons versé les montants retenus à Schmidt.La charte d'excellence à laquelle disent adhérer les membres du réseau Schmidt ne serait-elle, au final, qu'une publicité mensongère?