Bonjour, Je vous écris depuis le 30 décembre au nom de ma mère. Bien que les faits aient été très largement explicités et documentés, vous ne manifestez absolument aucun intérêt à notre plainte et ne voyez pas l'évidence. D'ailleurs, vous faites preuve d'une inertie sans bornes puisque vous poursuivez des démarches de recouvrement d'une créance caractérisée d'inexistante.Ma mère vous a informé en 2011 avoir vendu son appartement. Vous avez réceptionné ce courrier. Elle n'a depuis plus jamais été titulaire d'un compteur à son nom.Depuis le 30 décembre, vous réclamez le paiement liés à des consommations d'eau pour une période s'étalant de 2015 à 2020. Rien qu'en lisant ces deux paragraphes, vous devriez être conscients de l'absurdité de votre réclamation.Le 15 février, vous avez daigné nous répondre tentant de justifier par des arguments non fondés qui ne faisaient que mettre en lumière le chaos organisationnel qui semble régner au sein de vos services. Il ne s'agissait, bien entendu, pas d'arnaquer une personne âgée de 79 ans. On se rend bien compte par les rappels de paiement qui ont suivi que vos intentions sont toutes autres. Vous avez alors sollicité l'acte notarié permettant d'attester de la dite vente de son bien immobilier. Ce que dans un souci de gestion amiable, nous pouvions concevoir.Le 18 février, ma mère réceptionnait des rappels de paiement. Le 21 février, je vous ai à nouveau écrit pour vous faire part de mes démarches qui étaient d'ores et déjà en cours auprès de l'étude notariale en vue d'obtenir ce que vous désiriez. Vous receviez également l'ensemble de mon courriel adressé au notaire.Le 23 février, nous vous adressions, tel que demandé, les pages requises de l'acte notarié mentionnant clairement la vente de l'appartement de ma mère et les noms des nouveaux propriétaires. Nous avons pensé, à juste titre que votre pression malsaine s'était tarie devant la copie de ce document officiel mais également car il représentait exactement ce que vous souhaitiez obtenir.Le 17 mars, vous avez malgré tout et contre toute attente, adressé une mise en demeure à ma mère vous permettant de poursuivre votre absurde recouvrement de votre prétendue créance. A fortiori, totalement absente dans son chef.Le 21 mars, je vous écrivais à nouveau pour vous signaler nos intentions de recourir à des services de médiation du consommateur si le 24 mars, nous ne réceptionnions pas un écrit de votre part stipulant sans réserve que ma mère ne vous était redevable de rien. En somme, la reconnaissance de votre erreur (ce qui permettrait de laisser penser qu'il ne s'agit pas d'une arnaque de votre part mais d'une négligence).Le 24 mars, nous nous sommes exécutés et le médiateur nous a confié qu'il écrirait à la directrice de Vivaqua.Malheureusement, restant sans nouvelle le soir du 25 mars, la pression restant pesante sur les épaules de ma mère, j'ai publié une plainte sur votre page facebook. Le lendemain matin, j'ai réceptionné une sorte de message type qui m'invitait à communiqué mon numéro de téléphone afin que des collègues nous contactent. Il est clair que Vivaqua ne souhaite pas laisser de trace. J'ai exigé des écrits suite à mes nombreux courriels explicatifs. A cela, vous avez souhaité que je communique le numéro de matricule ainsi que le nom et adresse de ma mère alors que son matricule est repris sur chacun des courriels et que l'acte notarié faisait déjà état de son adresse en 2011. Je vous ai demandé de faire également l'effort de prendre connaissance de mes courriels et vous ai donné la date, l'heure et l'adresse mail du service à qui j'avais adressé mes échanges unilatéraux. Nous en avons conclu que depuis le 30 décembre, nous nous battons contre un moulin à vent. La plainte sur la page facebook a, bien entendu, directement disparu. J'en ai gardé évidemment la trace afin d'étayer mon dossier car j'avais bien supposé que cela se produirait. Ce fameux 25 mars , ma mère recevait également et, toujours à mon adresse, une facture d'eau pour la période s'étalant du 28/05/2020 au 14/03/2021 et relative à son ancien bien immobilier vendu en 2011. Une véritable aberration !Depuis vendredi matin, 10h20, fidèle à votre silence (sauf en matière de courriers tentant d'extorquer des fonds), nous n'avons toujours pas réceptionné de réponse qui mentionne explicitement que ma mère ne vous est redevable de rien.Nous espérons que cette plainte via Test-achats permettra de vous faire entendre raison. A défaut, j'ai encore des flèches à mon arc. A vous lire,Cordialement,
