Bonjour, j'ai téléphoné hier (21.05.2025, à 14h02) au service juridique (n° 02.542.33.33) à propos du non-suivi d'une demande introduite le jeudi 08.05 dernier, non pour m'en plaindre, mais parce que j'étais "inquiète" de ne pas avoir reçu la moindre réponse (j’ai appris à la faveur de mon 2ème appel de ce 21.05 (lire infra), que la collaboratrice du 08.05 avait bien transmis ma requête à qui de droit).
J'ai eu affaire en ligne à un collaborateur EXÉCRABLE, et j'ai d'ailleurs fini par raccrocher en lui disant "Monsieur, vous êtes odieux !". J'étais pourtant demeurée calme et polie, bien que je sois interdite par tant d’agressivité...
Nerveux, impatient, cassant, grossier, méchant, à aboyer sur moi, m'engueulant au motif que je n'avait pas de n° de dossier à lui communiquer (je n'ai en effet pas reçu à la suite de mon appel du 08.05, le traditionnel AR dans lequel celui-ci figure) : de ma vie téléphonique (et je vais avoir 60 ans !), je n'ai JAMAIS vécu ça ! (JE VOUS INVITE D’AILLEURS, CHÈRE ÉQUIPE, À ECOUTER LA CONVERSATION…)
Choquée, j'ai retéléphoné quelques minutes plus tard, càd à 14h08 ce même 21.05, au n° 02.542.33.96, où j'ai expliqué ma mésaventure à une gentille cette fois, dame qui, outre m’avoir écoutée, a tenté de m'aider pour mon problème (celui du 08.02). Je lui ai dit que son collègue étant odieux, j'avais fini par interrompre la "conversation" et par raccrocher, en le (càd qu'il était odieux) lui disant. Apparemment ce charmant personnage avait mis une très mauvaise note dans mon dossier à mon sujet !
Me voilà moi l’arrosée, contrainte de vous envoyer le présent message à propos de l'arroseur.
J'ai saisi qu'il s'agissait d'un collaborateur extérieur (avocat); faites-vous souvent appel à des gardiens de prison, ou garde-chiourme dans l'âme ? C'est SCANDALEUX d'ainsi traiter les membres, ou toute personne, de manière générale. Bien à vous.