Madame, Monsieur,
Le 10 juin 2025, je me suis rendue dans l’une de vos boutiques afin d’obtenir l’historique et l’ICCID de deux anciens numéros :
• 0466/298382 (avant transfert vers BASE/Telenet)
• 0477/904225 (utilisation arrêtée en août 2018, boutique chaussée de Wavre, Auderghem)
Peu d’informations ayant pu être extraites de votre database, j’ai ensuite adressé une demande par e-mail depuis mon adresse proxitell@proton.me, en sollicitant une réponse pour le 18 juin 2025. Cette démarche visait à analyser une possible usurpation d’identité numérique, après avoir découvert que le numéro 0466/298382 est administrateur de mon numéro actuel.
Vous avez apporté une réponse partielle, dont je vous remercie. Cependant, mon adresse proxitell@proton.me ne m’étant plus accessible depuis le 18 juin, je vous prie de bien vouloir me confirmer :
1. L’historique complet de ces deux numéros.
2. Les raisons pour lesquelles Proximus utilise le SSN comme référence carte SIM plutôt que l’ICCID.
3. La durée légale de conservation par votre entreprise des données liées à un abonnement, ainsi que la nature exacte de ces données.
En d’autres termes : sur quel support et pendant combien de temps un abonné Proximus peut-il compter en cas d’usurpation d’identité ?
Je constate par ailleurs que mes démarches suivent systématiquement le même cycle :
1. Dépôt d’une plainte ou d’un signalement.
2. Absence de réponse concrète.
3. Déplacement, invisibilisation ou suppression de la plainte.
Ce schéma se répète avec les mêmes acteurs et les mêmes méthodes dans plusieurs dossiers. Il ne s’agit pas d’un hasard : ce mécanisme neutralise les alertes et empêche toute avancée, laissant les problèmes sans solution et les abus sans sanction.
Je vous remercie par avance pour votre diligence et vous adresse mes salutations cordiales.
Hélène Deprins - 73/17 rue des Cottages - 1180 Uccle – Belgique