Bonjour, en date du 16/11/2023, Luminus (qui n’est alors plus notre fournisseur d’énergie) nous a réclamé 1070,15€ de régularisation. En comparant les relevés d’index, j’ai constaté que, ayant des panneaux photovoltaiques, les relevés d’index renseignés sur la facture même montraient un solde en ma faveur. J’ai alors pris contact avec Luminus pour demander une rectification de la facture. Après de multiples appels, tombant chaque fois sur une personne différente qui n’est manifestement pas au courant du dossier et qui n’a jamais les prérogatives pour répondre du volet financier, je reçois, en janvier 2024 une facture rectificative de 643,94€ sans aucune explication sur le nouveau calcul du montant. Je continue donc de contacter Luminus pour plaider le fait que nous ne sommes redevables de rien puisque les index indiquent clairement que j’ai produit plus que ce que je n’ai consommé. A chaque fois une personne différente, à chaque fois la même réponse : mon dossier est en cours de traitement, je ne dois pas tenir compte des rappels ( sur lesquels les frais de rappel ne cessent d’augmenter, évidemment). La procédure tient alors plus du harcèlement ( au vu du nombre de rappels et du silence de Luminus sur l’avancement de mon dossier) que de la procédure de traitement d’une plainte. Enfin, en mars 2024, un « responsable » prend mon appel (et refuse de me donner son nom) qui soutient que Luminus n’est pas au courant que j’ai des panneaux (ce qui est totalement faux) et que si j’envoie la preuve que j’en ai, mon dossier sera clôturé. La preuve a été directement envoyée. Je n’ai à ce jour plus de nouvelle de l’avancement de mon dossier si ce ne sont les rappels qui continuent d’arriver. Si je prends contact avec vous aujourd’hui c’est parce que je viens de recevoir un avis de transmission de ma facture à l’huissier pour le 28/05. Je suis démuni car j’ai téléphoné des dizaines de fois à Luminus qui m’a à chaque fois assuré que les rappels étaient des envois automatiques et que tant que le dossier était en cours rien ne se passerait. Ce n’est manifestement pas le cas et, surtout, rien n’avance.