Mauvais traitement des étudiants

Bonjour, Je vous contacte car j’ai fait deux jours de formation chez Mega le 5/5 et le 6/5; et le traitement de fin de formation était horrible. Je suis arrivée le 05/05 malheureusement en retard car je ne suis pas véhiculée et que je n’ai eu aucun bus pendant presque 2h. Tout cela a été informé par plusieurs messages, mail et tentatives non-concluantes d’appels au formateur. On en parle à part je lui explique il m’accepte et je participe énormément à la formation, sans aucune remarque négative. Le deuxième jour ( 06/05) j’ai eu trente minutes de retard à la pause de midi car j’avais une affaire urgente à régler pas très loin mais que le bus pour rentrer en moins de 10 minutes jusqu’au lieu de formation a eu un accident. J’ai donc couru plus de trente minutes jusqu’au bâtiment Mega. Encore une fois j’explique, on m’accepte et à la fin de la journée on me fait scanner mon empreinte pour l’accès au bureau des étudiants, il me demande m’inscrire à leur plate-forme de planning pour travailler au plus vite, j’avais signé la veille un contrat jusqu’au 30/06/2025. Je reviens vers mon formateur à qui je dis ne pas comprendre comment mettre mes disponibilités. Il prend un air ennuyé et me dit qu’il a d’autres choses à faire. Je m’excuse car je ne savais pas que lui devait le faire et pas les étudiants. Mais il continue de se plaindre mais me demande quelles disponibilités j’ai, ce à quoi je réponds. Et soudainement, il me dit de venir avec lui dans une petite pièce pour me dire que mon contrat va s’arrêter maintenant, tout de suite, sans que je puisse placer un mot. Qu’il ne peut pas accepter un retard le premier jour alors qu’il m’a bien fait signer mon contrat à la fin de cette journée-là. Je pars donc( il n’a d’ailleurs même pas répondu à mon «  au revoir » , je suis dévastée car j’avais besoin de cet argent pour mon kot et mes études universitaires. Je trouve un canapé, où je fais une grosse crise d’angoisse, au point de ne plus avoir d’oxygène. Il me dit de partir car " il y a du passage et que je n’ai plus ma place ici" C’était une pièce à accès exclusif du personnel, presque vide. Je demande gentiment si je peux rester encore un peu, ne serait-ce que pour téléphoner à mon papa pour du réconfort et quoi faire. Car comme on m’avait fait mon contrat jusque fin juin, je m’étais engagée à un changement de kot, plus cher mais j’en avais besoin. Je suis donc sans moins de pouvoir assumer mes engagements. Il arrive à ce moment-là ( à peu près trois minutes après ) au moment où j’en parle en pleurs avec mon père. Il me dit que je dois impérativement partir alors je lui demande un mouchoir ; ce à quoi il répond que du papier toilettes sera assez. J’ai un trouble anxieux et une dépression avérée ; une telle crise d’angoisse fait que c’est très dangereux pour moi de me déplacer comme je n’ai plus d’oxygène, plus de force et une sensation de " mort proche ". Il n’en a rien à cirer, je dois partir pour l’image de l’entreprise, pour les trois employés restant qui sont avec un casque. Je suis maintenant totalement démunie car ce travail j’en avais besoin, ne serait-ce que pour signer mon bail locatif. Cela fait deux heures que je suis encore en pleurs et si deux amies n’étaient pas tout près je ne sais pas comment je serai rentrée chez moi. Réellement aucune remarque n’a été faite sur mon retard, notre deuxième formatrice a d’ailleurs dit qu’elle comprenait, que les retard arrivaient. Job donc non- recommandé pour personnes ayant des émotions.

Mega. Same Connectivity. Just Cheaper. @@REF_ID@a5f41c788046093366@REF_ID@@ Bonjour, Nous accusons la bonne réception de la plainte de Mademoiselle Suinen. Mme Lélia Suinen a été recrutée la semaine du 25 avril. Elle nous a retourné son contrat de travail signé le mercredi 30 avril. Cependant, dans le même message, elle a mentionné une opportunité de stage à l’étranger, ce qui a soulevé des interrogations légitimes quant à son engagement à moyen terme. Ne parvenant pas à la joindre rapidement pour clarifier ce point, nous avons choisi de ne pas encoder le contrat tant que cette discussion n’avait pas eu lieue. Elle nous a répondu le vendredi à 18h, c'est malheureusement trop tard pour un échange avant le début de la formation prévue lundi matin. N’ayant pas eu de confirmation claire de sa part, son absence au début de la session ne nous a pas surpris. Elle nous a ensuite envoyé un message à 9h58 annonçant son retard, puis tenté de joindre la personne de contact à 11h43. Cette dernière n'était pas en mesure de répondre, donnant une formation auprès de nouvelles recrues. Elle a toutefois réussi à accéder aux locaux grâce à un coach, et nous avons pu échanger. Malgré les circonstances, nous avons accepté de l’intégrer à la session en cours, insistant sur l'importance de son implication. La première journée s’est déroulée correctement, et nous avons finalisé l’encodage de son contrat en fin de journée. Le lendemain, une collègue responsable d’une partie de la formation (Caroline) m’a fait part d’un comportement inadapté : retards répétés, manque d’attention, sorties intempestives, usage constant de son téléphone, et questions révélant une écoute insuffisante. Ayant confiance dans son jugement et partageant en partie ses constats, nous avons pris la décision de mettre fin à la collaboration. Lorsque Madame Suinen nous a abordé spontanément à la fin de la journée pour obtenir des informations sur la suite, nous avons préféré lui exposer directement et honnêtement la situation. Après notre échange, elle est restée dans les locaux, manifestement très affectée. Nous avons tenté un second échange pour l’apaiser. En constatant qu’elle restait sur place au-delà de l’horaire prévu (la formation se terminant à 17h), nous lui avons demandé de partir calmement, lui laissant le temps de se préparer. Elle a demandé des mouchoirs et, ne disposant pas de quoi l’aider, nous l'avons orientée vers les sanitaires. Nous restons à votre entière disposition pour toute question supplémentaire. Cordialement, Emilie Team Mega e-mail : info@mega.be t: 04 268 20 00 (du lundi au jeudi (jours ouvrables) : 8h30-17h30 vendredi : 8h30-17h) Contact us Power Online SA BE0535.615.192 Rue Natalis, 2 - 4000 Liège [KY43G7-LDYX5]

Je n’ai pas nié l’impact négatif de mes retards, mais pourquoi après deux jours de formation, les deux formateurs ont continué dans le sens du recrutement : mettre mon empreinte digitale par exemple. Ensuite, pour le deuxième jour, j’avais un pc qui ne fonctionnait plus, j’ai dû donc suivre uniquement à la projection, le problème étant que les étudiants étaient au fond sur des petits canapés et je suis myope. J’ai demandé ces changements de place pour pouvoir suivre. Et étant impliquée je prenais des notes manuscrites, ce qui a engendré de multiples questions afin qu’elles soient le plus complètes possible. Encore une fois j’ai demandé à Madame Caroline si mes questions dérangeaient et que je pouvais arrêter. N’oublions pas que c’étaient des termes que nous n’avions que peu entendu. Les autres étudiants m’ont d’ailleurs posé des questions sachant que je notais tout, j’étais loin d’être la seule à avoir été inattentive. Je ne pense donc pas avoir été si inattentive que ça. Pour mon téléphone j’ai expliqué avoir eu des appels urgent et je demandais de me resonner plus tard. Madame Carole reste la même personne qui a encodé mon empreinte digitale à la fin de la formation. Est-ce un hobby de donner de tels espoirs à des étudiants fauchés? C’est l’impression que ca m’a donné. Mais passons. La raison de ma plainte c’est le traitement subi. Non notre discussion n’était pas calme, ce n’était d’ailleurs pas une discussion il paraissait tellement " saoulé " que je n’aurais pas osé, j’avais peur. Sinon j’aurai évidemment demandé une seconde chance. Et non la raison pour laquelle il m’a demandé de partir n’était pas qu’il était passé 17h ; il m’a dit que je gênais et qu’il voulait pas que les gens me voient, pour l’image de l’entreprise. Mais comme expliqué j’étais en crise d’angoisse. Si vous ne connaissez pas les symptômes sachez que c’est dangereux et peut mener à des évanouissements notamment. Je n’ai pas eu d’autres choix que de partir, dans un état qui aurait pu me laisser évanouie en plein milieu de Liège. Devoir mener des étudiants et ne pas savoir gérer ce genre de situation est honteux. Si lui n’en avait strictement rien à faire et que j’étais en danger, j’appelle ça une non-assistance à personne en danger( ce n’est peut-être pas le mot adéquat pour cette situation mais je ne suis pas en études de droit). Deux étudiantes ont également du me réconforter dans l’escalier. Je les remercie énormément parce que ne serait-ce qu’un peu de gentillesse peut déjà changer beaucoup de choses.