Je suis co-propriétaire d’un immeuble qui a subi d’importants dommages en janvier 2016. Lors de cet incendie, les compteurs d’électricité appartenant à ORES ont été détruits.Une déclaration a été effectuée auprès de ma compagnie, P&V Assurances (voir plainte introduite via vos services).Ores en réclame le remboursement à mon co-indivisaire en mai 2017.Le 18/12/2018, ORES m’écrit je les invite à s’adresser à la compagnie. Le 22/1/2019, M. Flabat de ORES m’annonce que c’est suite à l’inertie de P&V qu’il m’interpelle directement, en me demandant de reprendre contact avec celle-ci. Ce que je fais à nouveau, ayant déjà adressé plus de quatre mises en demeures par pli recommandé à P&V (ce dont j’informe mon correspondant chez ORES le 22/1/2019).Néanmoins, le 15/4/2019, alors que je suis sans nouvelles de ORES, c’est Venturis qui m’envoie une « mise en demeure » par courrier simple, mentionnant des intérêts de retard de 26.36 € dès le 7/4 (soit avant la rédaction de leur mise en demeure) sur un principal de 276.49 €. Je transmets donc ce courrier à l’avocat que j’ai mandaté pour la récupération des sommes dues par la compagnie d’assurance.Venturis m’adresse néanmoins un second rappel le 10/5/2019 que je transmets également à mon avocat lequel m’assure lors d’un contact téléphonique qu’il s’occupe de ce souci supplémentaire.Le 31/5/2019, Venturis m’interpelle à nouveau avec l’intitulé « avis de visite domiciliaire ». J’envoie donc, en date du 11/6/2019, à leur adresse cbx@venturis.be une invitation à traiter avec mon avocat, lequel me lit en copie. A noter que je n’ai reçu aucune visite ni à ce jour.Le 6/8/2019, toujours par pli simple, Venturis m’envoie un « ultime rappel amiable avant poursuite judiciaire » mentionnant des « frais importants de l’ordre de 200 € minimum ».Mon avocat leur écrit en date du 20/8/2019, je reçois néanmoins un courrier de l’étude de l’huissier Gysen m’annonçant – toujours par pli simple – qu’il est chargé par ORES de me mettre en demeure de payer la somme initialement réclamée (soit 276.49 €) sans mentionner les intérêts vantés par Venturis le 15/4/19.Je transfère immédiatement à mon avocat avec copie aux adresses info@gysen.be, cbx@venturis.be et info@ores.be.Je reçois enfin ce jour (21/11/2019) l’avis d’une « procédure de conciliation devant le tribunal » à défaut pour moi de régler ou de prendre contact avec leurs services (!)