Covid-19


Depuis le début de la pandémie, le terme COVID-19 fait partie de l'actualité quotidienne, et malheureusement, le coronavirus circule toujours dans notre pays. Nous résumons les informations les plus importantes sur cette maladie, des symptômes et du diagnostic à la prévention, la vaccination et le traitement.
Les symptômes majeurs du COVID-19 sont la toux, la détresse respiratoire, les douleurs thoraciques et la perte du goût ou de l’odorat. D’autres éventuels symptômes sont la fièvre, les douleurs musculaires, la fatigue, les maux de gorge, la céphalée ou la perte d’appétit. Nos ainés peuvent aussi fréquemment ressentir les symptômes suivants : diarrhée aqueuse, confusion aigüe et chutes soudaines.
Vous ressentez l’un des symptômes majeurs ou au moins deux des secondaires ? Mettez-vous immédiatement en quarantaine et contactez votre médecin par téléphone pour subir un test. Ne vous rendez pas dans la salle d'attente de votre médecin ou aux urgences sans prévenir afin d'éviter de contaminer d'autres personnes.
Le COVID-19 n’est toutefois pas symptomatique chez tout le monde. L’infection peut provoquer de graves problèmes respiratoires, une hospitalisation, voire entraîner une issue fatale, surtout chez des personnes dont le système immunitaire est affaibli (personnes âgées ou souffrant d’une maladie chronique existante telle que le diabète, les maladies cardiovasculaires ou pulmonaires). Si bon nombre de personnes infectées ne présentent par contre aucun ou très peu de symptômes, elles n’en sont pas moins capables de propager le virus.
COVID-19, grippe, rhume ou rhinite allergique ?
Vous avez mal à la gorge ou le nez qui coule, ce qui vous fait penser que vous êtes contaminé ? Pourtant, le COVID-19, la grippe, un simple rhume ou encore une rhinite allergique peuvent présenter de nombreux symptômes similaires. Consultez ce tableau simplifié qui peut vous aider à repérer plus facilement les différences. Les symptômes ne suffisent cependant pas à déterminer s’il s’agit ou non du COVID-19. N’hésitez donc pas à consulter votre médecin en cas de doute.
COVID-19 | Grippe | Rhume | Rhinite allergique | |
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Les symptômes varient de légers à graves | Les symptômes se développent brusquement | Les symptômes se développent progressivement | Les symptômes fluctuent en fonction de l'environnement | |
Fièvre | Souvent | Souvent | Rarement | - |
Toux | Souvent (sèche) | Souvent (sèche) | Parfois | Parfois |
Perte d'odorat et de goût | Soudainement | Rarement | Parfois | Parfois |
Essoufflement | Parfois | - | - | Rarement |
Eternuement | - | - | Souvent | Souvent |
Nez qui coule, bouché ou qui gratte | Rarement | Parfois | Souvent | Souvent |
Mal de gorge | Parfois | Parfois |
Souvent | Parfois (chatouillements) |
Fatigue | Parfois |
Souvent | Parfois | Parfois |
Maux de tête | Parfois |
Souvent | Rarement | Parfois |
Douleurs musculaires | Parfois |
Souvent | Parfois | - |
Diarrhée | Parfois |
Parfois (surtout chez l'enfant) |
- | - |
Yeux qui démangent et qui larmoient | - | - | Parfois | Souvent |
Vous n’êtes pas atteint par le COVID-19, mais souffrez de fièvre, de toux ou de maux de gorge? Consultez notre dossier rempli d’astuces pratiques relatifs à ces maux.
Vous avez un autre problème médical ? Alors n'hésitez pas à appeler un médecin. Retarder l'assistance médicale par crainte d'une infection peut entraîner de graves complications.
Il existe différents types de tests pour vérifier si l’on est ou a été contaminé par le SARS-CoV-2.
- Tests diagnostiques :
- Un test moléculaire, aussi appelé test PCR : Un travailleur de la santé prélève un frottis nasal ou de gorge. Après quoi l’échantillon est envoyé en laboratoire pour y rechercher du matériel génétique du virus. Il s’agit du test communément effectué dans les centres de triage.
- Un test antigénique : Un travailleur de la santé prélève un frottis nasal ou de gorge. Les protéines (aussi appelées ’antigènes’) du virus sont ensuite recherchés, soit en laboratoire à l’aide d’un équipement dédié, soit à l’aide d’une sorte de bandelette de test fournissant le résultat au bout d’un certain temps. Dans ce dernier cas, l’on parle de test antigénique rapide. Un tel test rapide ne peut donc pour l’instant être réalisé ni interprété chez soi, d’autant qu’il est bien moins fiable qu’un test PCR.
- Tests sérologiques :
Ces tests consistent à rechercher des anticorps contre le SARS-CoV-2 dans le sang. Cette prise de sang a été au préalable effectuée par un travailleur de la santé avant d’être confiée à un laboratoire pour analyse et interprétation des résultats. Depuis le 19 septembre, des autotests sérologiques sont toutefois également disponibles dans notre pays. Après avoir piqué dans votre doigt, il suffit de déposer une goutte de sang sur une sorte de bandelette de test et d’attendre un certain temps avant de découvrir le résultat, tout comme pour un test de grossesse. Ce test ne vous dévoile cependant que si vous avez été contaminé par le coronavirus par le passé, pas si vous êtes contaminé au moment du test.
Les connaissances sur l'évolution naturelle du COVID-19 sont encore très limitées, dans la mesure où cette maladie n'est pas connue depuis très longtemps. Le délai entre l'infection et l'apparition des symptômes est généralement de 4 à 5 jours, mais toutes les personnes infectées ne présentent pas forcément de symptômes. Si des symptômes se manifestent, ils peuvent aller de très légers à très graves et mettre votre vie en danger.
Par ailleurs, le temps nécessaire pour se remettre du COVID-19 varie beaucoup d'une personne à l'autre. Par exemple, l'âge, les maladies chroniques existantes et la nature des symptômes semblent jouer un rôle. Certains symptômes disparaissent plus rapidement que d'autres. La fièvre, les frissons et la perte de l'odorat et du goût disparaissent généralement après deux à quatre semaines, tandis que la fatigue, les difficultés respiratoires, les problèmes cognitifs (mémoire, concentration) et les troubles psychologiques peuvent persister pendant des mois.
Les termes suivants sont couramment utilisés pour décrire les différentes étapes du cycle du COVID-19 :
- COVID-19 aiguë : symptômes/signes de COVID-19 jusqu'à 4 semaines après le début de la maladie ;
- COVID-19 symptomatique persistant (ou COVID-19 subaigu) : symptômes/signes de COVID-19 de 4 à 12 semaines après le début de la maladie ;
- COVID-19 long, Post-COVID-19, Post-effets aigus de l'infection par le SRAS-CoV-2 (PASC), COVID-19 post-aiguë, COVID-19 chronique, syndrome post-COVID, effets à long terme du COVID-19 : symptômes/signes du COVID-19 plus de 12 semaines après le début de l'infection par le COVID-19 ou d'une infection non officiellement identifiée comme COVID-19, mais dont les symptômes ne peuvent être expliqués par un autre diagnostic ou une autre maladie.
Vous trouverez des informations plus détaillées sur le "COVID long" dans notre dossier. Et consultez nos conseils pour faire de l'exercice après une infection au COVID-19.
Vaccination
La vaccination est un moyen crucial de prévenir autant que possible l'infection, l'hospitalisation et le décès dus au coronavirus. Grâce au vaccin, votre système immunitaire est mis en contact avec un (particule d'un) agent pathogène de manière contrôlée, sans provoquer la maladie elle-même. Votre système immunitaire réagit alors à ce phénomène en fabriquant, entre autres, des anticorps. Ces anticorps entrereront ensuite en action si votre corps vient à être en contact avec le véritable agent pathogène. Ils reconnaissent l'agent pathogène, et permettent au système immunitaire de réagir plus fortement et plus rapidement pour prévenir la maladie.
Vous pouvez en savoir plus sur les vaccins contre coronavirus dans ce dossier. Voulez-vous savoir quels sont les avantages et les risques personnels d'une vaccination corona ? Faites ensuite le test via Mon bilan vaccin. Si vous êtes un adolescent et que vous avez encore des doutes quant à votre vaccination, consultez notre outil en ligne.
Autres mesures
Il existe également un certain nombre d'autres mesures visant à prévenir la propagation du coronavirus. Pour ce faire, il est important de comprendre d'abord comment le virus se propage. Cela se produit probablement de trois manières différentes :
- Par de grosses gouttelettes libérées lorsqu'une personne infectée tousse, éternue, parle ou expire ;
- A cause de minuscules gouttelettes qui restent en suspension dans l'air comme un nuage, appelées "gouttelettes d'aérosol" ;
- Par des gouttelettes sur des surfaces telles que poignées de porte, tables, claviers, etc. En touchant ces surfaces avec vos mains, puis votre bouche, votre nez ou vos yeux, vous pouvez être infecté.
Les deux premiers modes sont les principales voies de propagation. Il existe en effet peu de preuves concluantes concernant le rôle essentiel de la contamination par les surfaces. Néanmoins, il est préférable de prendre des mesures pour réduire la contamination par chacune de ces trois voies :
- Évitez d'inhaler de grosses gouttelettes en gardant une distance suffisante. Portez un masque buccal si la distance n'est pas envisageable. Si vous devez éternuer ou tousser vous-même, couvrez-vous la bouche et le nez avec un mouchoir en papier jetable et jetez-le dans une poubelle fermant à clé. Si vous n'avez pas de mouchoir en papier à portée de main, toussez ou éternuez dans l'intérieur de votre coude.
- Portez un masque buccal pour réduire la formation d'aérosols et ventilez bien pour éviter que les nuages d'aérosols ne stagnent dans les espaces fermés. La plupart des purificateurs d'air offrent peu de protection contre le coronavirus. En revanche, une bonne ventilation en ouvrant régulièrement les fenêtres et les portes est un moyen simple et peu coûteux de renouveler régulièrement l'air intérieur.
- Respectez une bonne hygiène des mains et désinfectez les surfaces potentiellement contaminées.
Le coronavirus peut-il survivre sur des surfaces solides et sèches ?
Selon une étude en laboratoire, le SRAS-CoV-2 survit pendant environ 3 heures dans de fines gouttelettes dans l'air, 24 heures sur du carton et 2 à 3 jours sur des surfaces en plastique ou en métal. Sur le cuivre, cependant, le virus n'était plus viable après 4 heures.
Toutesfois, dans cette étude, les expériences ont été réalisées dans des conditions idéales. Dans une telle situation, il a été observé que le nombre de particules virales diminue avec le temps. Moins on trouve de virus, plus le risque d'infection est faible. Dans la vie réelle, en revanche, vous devrez faire face à des fluctuations de température, à l'humidité et à d'autres conditions qui ne favorisent pas la survie d'un tel virus. Ainsi, le fait que certaines particules virales aient encore été détectées en laboratoire après 2 ou 3 jours ne signifie pas obligatoirement qu'elles peuvent vous rendre malade. Pour cela, des recherches supplémentaires sont encore nécessaires. Pour l'instant, sans exclure cette hypothèse, il existe peu de preuves d'infections par des surfaces contaminées.
Par conséquent, à titre de précaution, il est préférable d'observer des précautions d'hygiène générales après avoir touché des objets ou des surfaces communes, comme se laver les mains avec de l'eau et du savon (ou utiliser un gel à base d'alcool en l'absence d'eau et de savon). Essayez d'éviter tant que possible de toucher votre bouche, vos yeux et votre visage. Et si nécessaire, nettoyez avec de l'eau et du savon les surfaces concernées, comme l'évier et la table de la cuisine.
Comment rendre le coronavirus inactif ?
Le matériel génétique des coronavirus est recouvert d'une couche de graisse (la couche lipidique). Il réagit de manière sensible aux substances qui dissolvent les graisses comme l'alcool, le savon ou le liquide vaisselle. Ces produits endommagent la surface du virus et le rendent inactif. Par conséquent, il est judicieux de se laver les mains avec du savon pour éviter toute contamination, et d'utiliser de l'alcool (minimum 60 %) et de l'eau de Javel pour désinfecter les surfaces. Le SARS-CoV-2 est également rendu inactif par les températures élevées. Dans des conditions de laboratoire, aucune particule virale n'a été détectée après cinq minutes à 70°C ou 30 minutes à 56°C. Plus la température est élevée, plus le temps nécessaire à l'inactivation du virus est court.
Non, il n'existe actuellement aucun médicament contre le Covid-19, capable de guérir des patients malades ou de les empêcher de contaminer d’autres d’un coup de baguette magique. L’Agence européenne des médicaments (EMA) a toutefois accordé une autorisation (conditionnelle) pour deux médicaments en mesure de présenter une plus-value chez des personnes infectées qui présentent des symptômes sévères nécessitant un apport supplémentaire en oxygène :
- Le Remdesivir (nom de marque Veklury), un inhibiteur du virus, a reçu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle de l'EMA. Une telle autorisation permet à un médicament d'être exceptionnellement approuvé sur la base de données moins étendues qu'en temps normal. Cette procédure est utilisée lorsqu'un besoin médical ou social est urgent, comme lors d'une pandémie. L'EMA n'accorde une telle autorisation que lorsque les avantages du produit et sa disponibilité rapide l'emportent sur les risques déjà connus à ce moment-là, ainsi que sur les risques qui subsistent en raison du manque de données. Cette autorisation est soumise à des conditions. Par exemple, après l'octroi de l'autorisation de mise sur le marché, les entreprises doivent recueillir des données supplémentaires dans le cadre des études en cours et lancer des recherches complémentaires pour combler toute lacune importante dans les connaissances.
- Le corticostéroïde dexaméthasone, qui, en raison de ses propriétés anti-inflammatoires, était déjà autorisé depuis de nombreuses années pour le traitement de diverses autres affections, telles que les problèmes de rhumatisme, les maladies de la peau, les allergies graves et l'asthme.
En outre, l'EMA évalue actuellement les données précliniques et cliniques d'un certain nombre d'autres médicaments :
- Les médicaments qui inhibent le système immunitaire et qui étaient donc déjà autorisés pour le traitement des maladies inflammatoires (par exemple, la polyarthrite rhumatoïde) : baricitinib, anakinra, tocilizumab. Pour ces médicaments, les entreprises concernées ont soumis une demande d'autorisation de mise sur le marché pour le traitement des patients hospitalisés COVID-19 qui ont besoin d'oxygène supplémentaire ou qui sont à risque de complications.
- Les anticorps monoclonaux, qui tentent d'empêcher le coronavirus de se fixer à la cellule humaine et de s'y multiplier : bamlanivimab et etesevimab, regdanvimab, REGN-COV2 (casirivimab/imdevimab), sotrovimab. Pour ces médicaments, l'EMA a émis un avis scientifique positif, mais n'a pas encore décidé d'une autorisation de mise sur le marché. Sur la base d'un décret ministériel du 19 mai 2021, REGN-COV2 est déjà autorisé dans notre pays pour le traitement des patients atteints de COVID-19 léger ou modéré qui ne nécessitent pas encore d'oxygène supplémentaire, mais qui présentent un risque élevé d'infection grave par le COVID-19.
Pour un certain nombre d'autres médicaments, déjà approuvés pour le traitement d'autres affections, tels que l'ivermectine, la colchicine, la (hydroxy)chloroquine/azitromyicine, le lopinavir/ritonavir, il n'existe actuellement pas suffisamment de preuves qu'ils puissent apporter une valeur ajoutée dans le traitement ou la prévention de la COVID-19. L'EMA déconseille même l'utilisation de l'(hydroxy)chloroquine en raison du risque d'effets secondaires graves tels que des arythmies cardiaques. En cas de surdosage, l'ivermectine et la colchicine peuvent également entraîner des effets toxiques.
Sachez qu'il n'y a aucune preuve que des dispositifs médicaux tels que ViruProtect Coldspray vous protègent contre le coronavirus. De plus, nous avons nos réserves quant à la sécurité de ce produit. Il en va de même pour l'homéopathie, l'huile de CBD, les huiles essentielles, les mélanges d'herbes chinoises et l'argent colloïdal. Il n'existe pas non plus de preuves suffisantes (basées sur des études cliniques correctement conçues) de l'efficacité des extraits de la plante Artemisia annua pour la prévention ou le traitement du COVID-19.
Enfin, si vous êtes sous immunosuppresseurs ou hypotenseurs, n'arrêtez pas votre traitement à titre préventif.
Que puis-je faire pour améliorer ma résistance?
Internet regorge de conseils pour vous armer contre le coronavirus et booster votre résistance. Mais comment trier le bon grain de l’ivraie?
- Compléments alimentaires, vitamines et minéraux
Pour la plupart d’entre-nous, les compléments alimentaires sont superflus. En principe, une personne saine puise toutes les vitamines et les minéraux dont elle a besoin dans son alimentation quotidienne. Qui mange de manière saine et variée ne doit dès lors pas recourir aux compléments alimentaires. En outre, l’efficacité de tels compléments dans le renforcement du système immunitaire reste à démontrer. Ne croyez donc pas aveuglément les allégations du fabricant !
Consultez notre dossier en ligne sur l'utilité ou non des compléments alimentaires pour une résistance et une vitalité accrues.
Pour de plus amples informations sur les vitamines et les minéraux, ainsi que les aliments dans lesquels vous pouvez les trouver, n’hésitez pas à consulter notre dossier.
- Adaptations du style de vie
Certains conseils simples vous aident à armer votre système immunitaire contre le coronavirus:
- Mangez de manière variée et équilibrée. Préférez les produits frais et consommez beaucoup de fruits et de légumes. Évitez les abus d’alcool. Tentez également des alternatives saines (mais moins connues) à la place de vos produits de base habituels. Vous préférez commander en ligne, mais cherchez une alternative aux sites des supermarchés, nous vous donnons des idées de solutions saines et souvent plus durables par ici.
- Évitez le stress, car celui-ci vous rend plus fragile aux infections (des voies respiratoires) et autres maladies. Tout ce qui vous aide à vous détendre (comme des exercices respiratoires) est donc conseillé. Au quotidien, aller vous promener, courir ou faire du vélo. Cela vous permettra de vous détendre et d'absorber suffisamment de vitamine D.
Si vous avez besoin de soutien psychologique, n'attendez pas trop longtemps pour obtenir de l'aide. De nombreux psychologues effectuent des consultations en ligne ou par téléphone, qui dans certains cas sont remboursées. Vous trouverez un aperçu des différents prestataires ici. - Veillez à dormir de manière suffisante et régulière.
Si vous recherchez des informations sur le coronavirus en ligne, soyez très attentif à la source que vous consultez. De nombreuses fake news circulent à ce sujet, à l'image de la rumeur affirmant que le virus n'est qu'une invention permettant de dissimuler les dommages causés par le rayonnement de la 5G sur la santé.
Pour des informations fiables concernant le COVID-19, rendez-vous sur le site web du SPF Santé publique. Vous y trouverez également des réponses aux questions fréquentes. Vous pouvez également téléphoner au 0800/14689.
Enfin, vous trouverez évidemment des informations fiables sur notre site web.
Nos experts sont à votre disposition
Vous vous inquiétez à propos du coronavirus ? Vos projets de voyage tombent à l’eau ? Vous vous faites du soucis à propos de votre crédit ? Vous pouvez en apprendre plus dans notre dossier contenant les questions fréquemment posées sur votre argent et vos droits.
Vers les questions fréquemment posées